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Le Port de Vancouver est en bonne voie de connaître une saison des croisières record en 2024

Selon les premières estimations, le terminal de croisières primé de Canada Place, à Vancouver, devrait connaître une nouvelle année record en ce qui a trait au nombre de passagers de navires de croisière, grâce aux efforts de collaboration visant à améliorer la durabilité

Vancouver (C.-B.): Le premier navire de croisière de la saison, le Disney Wonder, arrivera à Vancouver le lundi 11 mars, marquant ainsi le début d’une saison qui pourrait dépasser tous les records pour l’industrie locale. Au total, 329 navires de croisière devraient faire escale au terminal de croisières de Canada Place du Port de Vancouver entre le 11 mars et le 29 octobre.

Cela pourrait signifier qu’un nombre record de 1,27 million de passagers fréquenteraient le terminal de croisières de Canada Place du Port de Vancouver en 2024, soit environ 2 % de plus que l’année dernière.

« Nous nous attendons à ce que 2024 représente une autre saison forte pour le terminal de croisières primé de Canada Place, à mesure où nous nous efforçons de faire de Vancouver un port d’attache de premier plan desservant le marché populaire de l’Alaska », a déclaré Mandy Chan, directrice des services de croisière à l’Administration portuaire Vancouver-Fraser, l’agence fédérale chargée de faciliter les échanges commerciaux du Canada par l’intermédiaire du Port de Vancouver. « L’industrie des croisières constitue un élément important du secteur touristique dynamique de Vancouver qui soutient d’innombrables entreprises et emplois locaux dans les domaines de l’hôtellerie et du tourisme. Nous sommes impatients de travailler avec les compagnies de croisière et nos partenaires de l’industrie pour assurer une nouvelle saison couronnée de succès. »

Les navires de croisière déployés pendant l’hiver dans d’autres parties du monde reviennent sur la côte ouest en mars et avril pour se préparer à la saison de l’Alaska. Le 11 mars, le Disney Wonder embarquera des passagers à destination de San Diego avant de revenir en mai pour débuter son itinéraire hebdomadaire de Vancouver à l’Alaska.

Vancouver est depuis plus de 30 ans un port d’attache pour les croisières à destination de l’Alaska, et il s’agit du seul port d’attache à offrir des itinéraires aller simple et aller-retour le long du spectaculaire Passage de l’Intérieur. Avec son statut de port d’escale, l’industrie des croisières de Vancouver injecte en moyenne près de 3 millions de dollars dans l’économie locale pour chaque escale de navire, et elle soutient près de 7 000 emplois dans l’ensemble du Canada, 300 millions de dollars en salaires, et contribue à hauteur de 840 millions de dollars au PIB national.

« Nous nous efforçons de poursuivre nos partenariats et initiatives visant à protéger l’environnement, et c’est pourquoi nous sommes ravis de voir que nos partenaires croisiéristes sont prêts à adopter des programmes tels que l’alimentation à quai pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et le ralentissement de leurs navires lorsqu’ils traversent l’habitat local critique des cétacés en péril dans le cadre du programme ECHO », a ajouté Mme Chan. « L’attrait d’une croisière en Alaska réside dans la beauté naturelle du voyage, et nous savons qu’il est possible de faire davantage pour créer un marché des croisières durable tout en favorisant sa croissance. Nous tenons à remercier tous les intervenants pour les progrès réalisés collaborativement jusqu’à présent et nous sommes impatients de poursuivre ce travail important en 2024. »

La gamme de programmes et d’initiatives environnementaux pour le secteur des croisières au Port de Vancouver comprend :

• L’alimentation à quai, qui permet aux navires de passage d’arrêter leurs moteurs auxiliaires diesel et de se raccorder au réseau hydroélectrique de la Colombie-Britannique, qui produit peu d’émissions. Cette technologie a permis de réduire les émissions de gaz à effet de serre liées au port de plus de 38 000 tonnes depuis son introduction au Port de Vancouver en 2009, ce qui équivaut à retirer de la circulation environ 8 500 voitures à essence pendant un an.
• Le programme ECHO, un programme d’envergure mondiale qui encourage les navires de croisière et les autres grands navires commerciaux à ralentir ou à s’éloigner des zones clés de l’habitat essentiel des cétacés en péril, tels que la population résidente du sud d’épaulards. L’industrie des croisières participe activement au programme depuis 2017, les opérateurs de navires de croisière ayant ralenti pendant 83 % de tous les trajets à travers les zones clés de l’habitat essentiel de la population résidente du sud d’épaulards dans le détroit de Haro, le passage Boundary, et au niveau du banc Swiftsure en 2023.
• Le programme EcoAction, qui prévoit des réductions allant jusqu’à 75 % des droits portuaires pour les navires qui sont plus propres et plus silencieux, notamment en utilisant des carburants alternatifs à faible taux d’émission ou en se raccordant à l’alimentation électrique à quai.
• Le Corridor vert entre la région du Nord-Ouest du Pacifique et l’Alaska, qui sera tout premier corridor vert à émissions nulles pour les navires de croisière et qui reliera l’État de Washington, Vancouver et l’Alaska. Le corridor vert est mis en place en partenariat avec des compagnies de croisière internationales, des ports, des gouvernements et des groupes de défense de l’environnement.
• Les restrictions en matière de rejets qui interdisent aux navires de croisière de rejeter les boues de lavage des épurateurs lorsqu’ils sont à quai ou au mouillage dans le Port de Vancouver, en plus des restrictions concernant les eaux noires et les eaux grises.

« Alors qu’une nouvelle saison de croisières record débute à Vancouver, je tiens à saluer le travail acharné de tous nos partenaires qui ont assuré le beau succès de la reprise des croisières dans notre ville après la pandémie », a déclaré Mme Chan. « Cela inclut les compagnies de croisières, le gestionnaire du terminal de croisières de Canada Place, SSA Marine, l’International Longshore and Warehouse Union, et nos partenaires au l’Agence des services frontaliers du Canada et le Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis. La réussite de l’industrie des croisières à Vancouver, année après année, est le résultat direct du dévouement et de la collaboration de toutes les personnes concernées. »

Les opérations quotidiennes du terminal de croisières de Canada Place sont gérées pour le compte de l’Administration portuaire par SSA Marine, anciennement connue sous le nom de CERES Terminals Canada.

Faits saillants de la saison des croisières 2024

• Le premier navire de la saison, le Disney Wonder, arrivera au quai ouest du terminal de croisières de Canada Place à 7 h le lundi 11 mars 2024. Le prochain navire de la saison 2024 sera le Norwegian Bliss, dont l’arrivée est prévue le 4 avril. Consultez l’horaire des croisières pour obtenir tous les détails sur la saison 2024.
• Le dernier navire de croisière de la saison, le Norwegian Jewel, devrait quitter Canada Place le mardi 29 octobre 2024.
• Les cinq navires suivants feront escale pour la première fois à Canada Place, au Port de Vancouver, en 2024 : Explora I, Silver Nova, Celebrity Edge, Pacific World, Hanseatic Spirit
• Le terminal de croisières de Canada Place du Port de Vancouver accueillera les croisiéristes suivants en 2024 : Celebrity Cruises, Crystal Cruises, Cunard, Disney Cruise, Explora Journeys, Hapag-Lloyd Cruises, Holland America, Hurtigruten, Norwegian Cruise, NYK Cruises, Oceania Cruises, Peace Boat, Ponant, Princess, Regent Seven Seas, Royal Caribbean, Seabourn, Silversea Cruises, Victoria Cruises, Viking Ocean Cruises
• En 2023, près de 75 % des navires faisant escale au port étaient équipés pour se connecter à l’alimentation à quai, comparativement à 50 % en 2019. La demande pour l’alimentation à quai a constamment augmenté depuis 2009, lorsque le Port de Vancouver est devenu le premier port au Canada et le troisième port mondial à mettre en place cette technologie pour les navires de croisière.

Contact presse

Alex Munro
Conseiller principal en communication
604.340.8617
[email protected]

À propos de l’Administration portuaire Vancouver-Fraser et du Port de Vancouver   

L’Administration portuaire Vancouver-Fraser est l’agence fédérale chargée de la gestion partagée des terres et des eaux qui constituent le Port de Vancouver. Comme toutes les administrations portuaires canadiennes, nous relevons du ministre fédéral des Transports et menons nos activités en vertu de la Loi maritime du Canada. Notre mandat consiste à faciliter les échanges commerciaux du Canada passant par le Port de Vancouver, tout en protégeant l’environnement et en tenant compte des communautés locales. L’Administration portuaire fonctionne à titre de société sans actionnaires, financièrement autonome, et qui ne s’appuie pas sur l’argent des contribuables pour mener ses activités. Nos revenus proviennent des terminaux portuaires, des locataires qui louent les terrains portuaires et des utilisateurs du port qui payent différents frais tels que les droits de port. Les profits sont réinvestis dans l’infrastructure du port. L’Administration portuaire supervise l’utilisation des eaux et des terres du port, ce qui comprend plus de 16 000 hectares d’eau, plus de 1 500 hectares de terres et environ 350 kilomètres de rivage. Situé sur la côte sud-ouest de la Colombie-Britannique au Canada, le Port de Vancouver s’étend de Roberts Bank et du fleuve Fraser jusqu’à la baie Burrard inclusivement. Il borde 16 municipalités et se trouve à l’intersection des territoires traditionnels et des terres cédées en vertu d’un traité de plus de 35 groupes autochtones des Salish du littoral. Le Port de Vancouver est le plus important port du Canada et le troisième plus grand port d’Amérique du Nord en nombre de tonnes de marchandises transportées. Facilitant les échanges commerciaux avec 140 à 170 pays chaque année pour une valeur annuelle représentant 305 milliards de dollars, les activités portuaires représentent 115 300 emplois, 7 milliards de dollars en salaires et 11,9 milliards de dollars de produit intérieur brut au Canada. 

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